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« J’en ai marre de courir après ce zigoto moi… » maugréa le félys dans la chaleur d’un après-midi. Son long manteau de voyage et sa veste posées sur le dos de son cheval qu’il tenait par la bride, il avançait sur cette route au milieu d’une forêt, entouré par le chant des oiseaux et le bruit du vent dans les branches.

Une semaine. Cela faisait une semaine qu’il cherchait à mettre la main sur l’un des siens. Depuis ce jour où il était tombé sur cette affiche indiquant que l’on recherchait un voleur pour une somme modeste certes mais quand même…
« Le voleur de pomme de terre… ça lui va bien comme surnom à cette patate. 350 gopis… non mais il aurait au moins pu s‘appliquer pour avoir une plus forte somme sur sa tête mais non…même pas. Faut toujours qu‘il fasse n‘importe quoi celui-là.
Pfff franchement ces jeunes, plus aucun respect pour leur métier. Quand je pense que cette racaille est mon diplomate…»

Cela faisait une semaine que le félys à l’œil bandé cherchait des infos sur celui qu’il recherchait. Toujours et partout la même réponse: « aucune idée d’où il est et heureusement pour lui »
Cela devenait lassant à force…

Et puis qui ferait pleinement confiance à un félys à la fourrure noire, l’œil gauche bandé, une cicatrice au niveau du droit qui lui balafrait tout le visage. Vêtu de noir, un sabre à la ceinture, ombre furtive dans la foule, silhouette silencieuse dans une taverne. L’ancien assassin se présentait comme un chasseur de prime ayant des comptes à régler avec le ‘’voleur de pomme de terre‘’. C’était loin d’être un rôle difficile à endosser. Après tout il souhaitait vraiment coller une tarte en pleine tête de son collègue et ami afin de lui remettre les idées en place et il donnait vraiment l’impression d’exercer le métier supposé.
« Pour une fois pas besoin d’un quelconque déguisement, juste une fausse identité. »

Durant une semaine tout ce qu’il récolta n’était que rumeurs, remarques et demandes du style ‘’collez lui une dérouillée de ma part à ce mécréant, cet ignoble malfaiteur qui ose dépouiller les honnêtes gens.‘’ ou encore ‘’Il ne mérite pas une plus grosse prime sur sa tête ce n’est qu’un amateur, de mon temps les pickpockets ne se faisaient pas remarquer, ils connaissaient leur métier.‘’
Toutes ces paroles faisait sourire le félys, comment aurait-ils pu se douter que celui qu’ils avaient en face d’eux exerçait ce métier,développait cet art.

Car plus qu’une simple occupation Ackeros voyait sa profession comme une passion, un art dont il cherchait toujours à tirer le maximum. D’où une autre raison à son envie de mettre la main sur le zigoto en question. En effet sa défaite contre le petit rigolo au cours du grand tournoi des terres argentées, à la grande surprise de tout le monde puisqu’il avait également battu de nombreux voleurs renommés lors de cette épreuve. Évidemment Ackeros avait cherché sur la grande place du tournoi en espérant lui mettre la main dessus lors de la finale du tournoi des voleurs mais en vain. Aucune trace du jeune félys et personne pour donner la moindre indication sur l‘endroit où il pourrait se trouver.

Après avoir entrepris de fouiller les affaires du fuyard au campement des Subtile Liberté, il se souvint que son ami lui avait parlé d’une guilde de voleurs, Agility, dirigée par Apo. C’est alors qu’il mit la main sur un bout de papier qui traînait dans un coin.
« Amateur… » pensa-t-il avant de se rendre compte que ce morceau de parchemin avait été laissé là à son attention. Un large sourire apparu sur son visage.
«Finalement il n’est peut-être pas aussi irrécupérable que je le pensais »

Grâce aux informations fournis par le parchemin il parvint à la taverne de la guilde Agility, repaire des voleurs des terres d’argent. Pénétrant avec méfiance dans la bâtisse il sentit alors de nombreux regards se poser sur lui, et pas que des bienveillants à ce qu’il lui semblait. Il commanda une bière puis alla s’asseoir à une table libre avec sa chope. Celui qu'il recherchait ne devrait pas tarder à pointer le bout de son nez par ici.

Faust été tranquillement assis avec ces confrére en train de venté ses exploits de voleur lorsqu'il vit entrer son amis Ackeros il se dit alors que c'était vraiment un mauvais enquêteur pour l'avoir trouvé que maintenant malrgé tout les indices qu'il avait laissé.

il décida alors de se caché pour laissé galérer encors sont chef

voyons se que tu a dans le ventre

marmona t-il

Le félys termina sa chope tranquillement.

Une semaine. C’est le temps qu’il lui avait fallu pour rejoindre le campement des Subtile Liberté. Ses escapades l’avaient retenu bien plus loin qu’il ne l’aurait souhaité.

Il leva la tête et examina à nouveau la salle. Les regards inquisiteurs étaient moins visibles mais toujours présents. Il sentait une aura de menace planer sur sa nuque.

Soudain un mouvement dans un coin de la salle capta son attention. Tournant la tête il se trouva face à un groupe de personnes mais quelque chose le dérangeait. Il avait déjà jeter un coup d’œil rapide en entrant, par réflexe. Il en était persuadé, il manquait une personne à cette table.

Se redressant sur sa chaise il déclara:
« J’aime beaucoup l’endroit. Dommage que ça sente autant la pomme de terre. »

Un large sourire apparu sur son visage. Si faust était bien là il ne craignait pas grand-chose et dans le cas contraire et bien…il n’aurait fait que s’attirer que quelques ennuis. Cela faisait trop longtemps qu’il se tenait à carreau, il avait besoin de distraction.

-J’aime beaucoup l’endroit. Dommage que ça sente autant la pomme de terre.

Sur ces mots, Wiss fut capté par l'attention du jeune Félin borgne mais à la langue bien pendu.

-Que veus tu, on est mardi, et aujourd'hui c'est le jour des frites, que comptes-tu y reprocher sinon que le restaurant qui fait du boeuf bouilli à la menthe c'est en face et pas ici!

« Je rigolais mon cher. Maintenant si notre ami faust voulait bien sortir de sa cachette je pourrais m’entretenir avec lui d’un sujet qui revêt à mes yeux une certaine importance. »

Prononçant ses paroles il enleva le bandeau de son visage et laissa apparaître un œil violet quelque peu luminescent.

« Faust on dirait que tu n’es pas au courant pour mon œil gauche. Il s’agit d’un sombre cadeau que j’ai récolté suite à un soin loupé, maudit soit cet escroc de prêtre. Enfin sa grande particularité est qu’il me permet de voir ce qui est camouflé aux yeux des gens. Alors vient donc t’asseoir avec moi il faut que nous parlions. »

Le sourire du félys avait disparu pendant qu’il parlait et il arborait à présent un air grave.

*Faust voyait que l'aire du chef avait changer et qu'il été temps d'arrété de joué il se posa discrétement dériére Ackeros et lui mti une petite baffe*

je sait pour ton oeil tu t'en vente trop garde tes talent caché mais bon j'était dans ton dos tu ne pouvais dans tout les cas pas me voir


*Mais la plaisenteri été fini ackeros avez vraiment une discution seurieuse a entretenir avec Faust cela se voyait dans sont regard*

Bon allons parlé un peu

*Faust offra un vert a ack et lui l'invita a s'assoir a une table*

Je t'inviterais bien a l'intérieur mais il faut que le chef des lieu t'en donne l'autorisation espéront qu'il passe par ici sous peu que nous soyons pas si exposé a toute ces inconnus

« Pour ce que j’ai à dire pas besoin d’être dans un endroit spécifique. »

Le félys remit son bandeau en place et regarda son verre avant de boire une gorgée.

« Tu t’en souviens sûrement, il y a peu je t’avais dit que je quitterais le groupe pour un moment. Et bien ce moment est arrivé. Il est temps pour moi de rompre les attaches et de reprendre mon vagabondage. J’ai déjà laissé un message au campement mais il n’y avait personne.

Mais c’est surtout à toi que je voulais parler. Je voudrais que tu prennes ma place à la tête des Subtile Liberté. »

Ackeros finit alors sa chope et regarda Faust droit dans les yeux en attendant sa réponse.

Faust ne s'atendait pas du tout a une tel question. Il en avait déja parlé il y avait un moment avec son chef mais ne pensé pas que sa aller venir si vite

Tu est sur de ton choix????
Tu préfére partir et voyagé seule et je respect ton choix mais est tu sur que tu le désir vraiment????

Faust regardé maintenant Ackeros avec un aire grave.


Je prend le post bien sur est je te succéderé du mieu que je peu mais sache que cette place sera toujours la tienne et que si tu décide de revenir en arriére se sera toujour possible

« Merci mon ami je savais que je pouvais compter sur toi.
Tiens moi au courant des réactions des autres et dis leur que je ne les oublie pas.
Quant à moi je pense que je vais traîner dans le coin un moment et si je part je laisserais un mot pour que tu puisse me retrouver en cas de besoin»

Sur ces mots le félys commanda deux nouvelles chopes pour son ami et lui.

« Mais j’y compte bien mon vieux, j’y compte bien »

Un large sourire aux lèvres Ackeros leva sa chope.

« Messieurs je paie ma tournée!

Quand à toi j’espère bien tomber contre toi au tournoi. »

Le regard brillant (enfin l’œil non bandé :p) il se sentait mieux que jamais, libre comme le vent.